Notre perspective
Ces dernières années, on a constaté une tendance étonnante à l’inactivité chez les enfants canadiens. Les experts préviennent que cela pourrait avoir des conséquences graves et profondes sur leur santé et leur bien-être. En encourageant le jeu actif dans l’éducation et la garde des jeunes enfants, nous pouvons inverser la tendance.
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Pourquoi le jeu actif est-il si important pour la petite enfance? Et pourquoi devrions-nous nous soucier de faire bouger les enfants dans les centres de la petite enfance? Il y a d’importantes raisons de faire bouger les enfants.
Les charpentiers doivent se tenir en équilibre sur des poutres et balancer des marteaux
Les pompiers doivent grimper à des échelles et manipuler des tuyaux
Les infirmières doivent soulever et déplacer les patients
Chacun a besoin de transporter des provisions
Marcher sur les trottoirs glacés demande de l’équilibre
La valeur accordée au jeu actif des enfants se reflète dans la riche histoire des jeux actifs pratiqués traditionnellement par les peuples autochtones du Canada. Les enfants autochtones apprenaient à jouer pour développer des aptitudes à la survie, et leurs jeux leur enseignaient également leur relation avec la terre et leur communauté.
Lorsque les enfants jouent en plein air, les bénéfices potentiels pour leur santé et leur bien-être mental sont innombrables. Les centres de la petite enfance offrent des occasions spéciales de faire sortir les enfants à l’extérieur, et les avantages profitent à tous.
Un jeu plus vigoureux
De meilleures aptitudes sociales
Une amélioration de la coopération
Une meilleure résolution des problèmes
Moins de difficultés émotionnelles
Un meilleur comportement
Une amélioration de l’autorégulation
Une propension au bonheur accrue
Nous vivons à l’ère du numérique et les écrans sont partout. Entre-temps, les recherches nous indiquent que le temps excessif passé devant un écran nuit aux enfants. Que pouvons-nous faire pour aider les parents à gérer le temps passé par leurs enfants avec des appareils numériques?
Les opinions et les interprétations figurant dans la présente publication sont celles de l’auteur et ne représentent pas nécessairement celles du gouvernement du Canada.
